CHANEL FALL WINTER 2011-2012 PRESS KIT

The 2011-12 Fall-Winter Ready-to-Wear collection was staged in a poetic fall mist, on a backdrop painted with an imaginary forest cast with mystery. “I wanted to recreate in the Grand Palais the atmosphere of a misty garden, after the French gardens from last season,”comments Karl Lagerfeld. The models emerged from two white cubes monogrammed with a black Chanel Logo in a dazzling fog of light to stride down a wooden trail.

Androgyny, the crossroads between masculine and feminine and the mix of genders,
imposes a new attitude. The legendary CHANEL jacket, beaded and embroidered, is worn
with a men’s tuxedo jacket, or with a sportswear reefer jacket, hybrid and equivocal, or can be worn under a tweed or knitted cape with contrasting colors. The mood of fatigues-style jumpsuits is shifted, either by sequins or a quilted effect. The jumpsuits are even more dressed up with embroidered lace, while the masculine pants are worn cuffed above a naked ankle.

Nature is styled. Foamy volumes on short sleeves or on the collars of little black dresses are accented by frayed tulle. Leaves slide over transparent organza overlays, and silk chiffon in hazy colors, and trim cuffs or necklines.
Buttons shine, monogrammed and squared, in metal or glass. Tweeds, draped cashmere,
organza, chiffon and satin, and knitted tricot resonate with a dim palette: black, anthracite,multiple greys, sliver, fur-tree green and red.

The masculine shoes are worn with loose socks, almost like gaiters, and are contrasted with slender pointed pumps in crêpe de Chine with an elegant heel, contrasting matte and patent.

The jewlery, cuff bracelets, necklaces and brooches with an Art Nouveau style evoke nature with bursts of light.

The bags in glazed calfskin are captivating, with their constructivist aged-metal clasps, linear quilting, and graphic stitching.

All images Courtesy of Chanel.
More after the jump!













La collection Prêt-à-Porter Automne-Hiver 2011-12 de CHANEL se met en scène dans un
brouillard poétique automnal, sur fond de toile peinte évoquant une forêt imaginaire,
empreinte de mystère. «J’avais envie de recréer dans le Grand Palais cette atmosphère de parcs brumeux après le jardin à la française de la saison dernière», commente Karl Lagerfeld.

Les mannequins sortent de deux cubes blancs siglés noirs, émergeant d’une brume
irradiante de lumière, pour arpenter un sentier de bois.

Androgynie, croisement d’un masculin-féminin et mélange des genres imposent une
nouvelle attitude.

La veste légendaire de CHANEL, perlée et brodée, fusionne avec une veste d’homme au
revers smoking, se greffe sur un caban sportswear, hybride et ambigu, ou se porte sous une cape de tweed ou de maille, contrastant les coloris. Les combinaisons aux allures de treillischangent de registre, en version pailletée ou matelassée. Décalées, les salopettes s’habillent de dentelles rebrodées, tandis que les pantalons masculins se portent retroussés au-dessus d’une cheville dénudée.

La nature est stylisée. Elle s’inscrit en volume mousseux sur les mancherons ou sur les cols des petites robes noires, rehaussés de tulle effrangé.

Les feuilles se glissent entre les transparences des superpositions d’organza et de
mousseline de soie couleur de brume. Et ourlent, en festons, revers ou encolures.
Les boutons brillent, siglés, carrés, en métal et pâte de verre.

Les tweeds, draps de cachemire, organza, mousseline et satin, maille tricotée résonnent d’une palette sombre : noir, anthracite, gris multiples, argent, vert sapin, rouge sourd.

Les chaussures masculines s’accompagnent de chaussettes portées lâches, comme de
fausses guêtres, contrastant avec les escarpins fins et gracieux au bout pointu en crêpe de Chine et petit talon élégant, opposant les mats et brillants.
Les bijoux, bracelets-manchettes, colliers et broches d’esprit Art Nouveau évoquent, en éclats de lumière, la nature.

Les sacs en veau glacé patiné, séduisent par leur fermoir constructiviste en métal vieilli, leur matelassage linéaire, et leurs surpiqûres graphiques.